La Lucarne
du latin lucerna, la lumière.
Projets en cours
Limegbie
Cameroun
Partager son quotidien, ses défis. Raconter sa propre histoire.
Proposer d'autres images pour changer les regards.
Limegbie, c'est l'oeil de la femme en langue bamoun.
Pour permettre aux femmes issues des régions rurales de se raconter elles-mêmes, La Lucarne et l'association Art au féminin travaillent avec le projet Limegbie, à former et équiper ces femmes de la société civile en régions reculées.
Le projet, qui a démarré en mars, vise à former sur trois années, près de 80 femmes à travers les 10 régions du Cameroun.
Le projet vise à être développé ensuite en Tunisie et en France.
Développé sous l'égide du CFI, l'agence française de coopération des médias, dans le cadre de son programme "Connexions citoyennes", le projet Limegbie a bénéficié durant un an d'un accompagnement à la gestion de projet numérique visant à favoriser les actions citoyennes.
Chamarel
"Pour ne pas être spectateurs de leur vieillesse, braver maison de retraite et solitude, Patrick, Chantal et une dizaine d'autres, tous retraités, ont monté leur coopérative d'habitants. Elle a donné lieu à la création d'un immeuble écologique, sorti de terre en 2017. Une aventure filmée dès le jour de l'emménagement.
"
Chamarel, c'est le nom de la résidence.
Le nom donné à des nuits d'échanges et de réflexions aboutis. Le nom d'une aventure qui démarre aujourd'hui.
Filmer la vieillesse active : des hommes et des femmes qui ont décidé d'être acteurs d'une vie loin d'être finie.
Au contraire, elle recommence ici.
En cours de développement.
Auteur-réalisateur : Cécile Boutain.
Correspondances
En France, au Burkina, en Tunisie, au Cameroun,
des enfants se racontent leurs vies et partagent ressemblances et différences pour créer ensemble de petits documentaires collaboratifs.
Se raconter, partager son histoire.
Regarder, écouter l'autre.
Puis se reconnaître en lui.
Les correspondances filmées mettent en lien des groupes d'enfants issus de différents endroits du monde.
En ville ou en campagne, au Nord comme au Sud, ces jeunes se rencontrent grâce à la réalisation de petites vidéos qui, réunies, deviennent un film sur ce qui nous différencie et nous lie.
En cours de montage.
Réalisation: Hélène Poté. Montage:Cécile Boutain.
Production: La Lucarne, Cocotte Prod.
La traversée des possibles
À bord du “Laisse Dire”, dix citoyen(ne)s valides & handicapé(e)s partent en mer, pour un voyage symbolique à la rencontre de l’autre.
La Lucarne a filmé cette traversée des possibles.
Un projet imaginé et conçu par Juliette Pégon et Christophe Cerri avec Cocotte Prod. Réfléchir ensemble à la notion de différence et de handicap, et en faire une question de société, sont les objectifs de cet ambitieux projet.
Le vent souffle dans les voiles
La mer tape contre la coque
Etonnant équipage que celui qui navigue sur le «Laisse dire »
Ils ont choisi de ne pas laisser dire.
Ils partent en quête d’eux-mêmes, en quête de rencontres et d’échanges.
Comment vivre ensemble, avec nos différences, nos handicaps, nos forces et nos faiblesses ?
Comment inventer une société où être soi, vivre ensemble, soit plus important que la norme et la performance ?